Au milieu des 2 000 hiéroglyphes, idéogrammes et pictogrammes du La croix égyptienne, le Ankh, omni-présente dans les papyrus et sculptures, est souvent matérialisée par des amulettes, mais on ne la trouve jamais grandeur nature. Le rôle de porte-bonheur n'est pas contesté par Gruais et Mouny bien qu'ils apportent une toute autre réponse à la nature de l'Ankh. Pour eux, il y a bien eu un modèle dans la nature. En fait, ils démontrent qu'une vingtaine de signes sont gérés de manière particulière sur les fresques, étant "limbés" de blanc, et articulés de façon étonnante. Leur forme, comme pour l'Ankh, interpellait sur l'origine. Après de longs travaux, les deux chercheurs pouvaient étayer une incroyable piste : la chaîne électromagnétique. Les Egyptiens, manifestement, ont eu connaissance des matériels de On peut donc imaginer que cette civilisation ancienne avait vu ces matériels et que, ne voulant ou ne pouvant les reconstituer, elle s'était bornée à les reprendre en message pariétal (sur les parois des tombeaux) avec un sens symbolique ou religieux. Pour qui s'y attarde, c'est une immense "bande dessinée" qui ne cesse de parler. On peut même aller jusqu'à envisager que cette liaison (fut-elle fictive) entre Pharaon et les Dieux, préfigure la Transcommunication. L'Ankh y joue le rôle de Diode, impliquant une civilisation antérieure et assurément extérieure. |