La succession de confirmations d'une hypothèse de présentation (en style BD.) des connaissances -même non appliquées matériellement- de la chaîne électromagnétique impliquait d'imaginer une possible reconstitution du transfert d'image.
Le résultat surprenant réside en ces dessins émanant du papyrus du Livre des Morts du scribe ANI.
La technique peut s'expliquer ainsi :
Le rectangle, avec les chevrons, exprime généralement les termes d'eau ou fluide.
A l'intérieur, a gauche, on voit un nodule central d'où part la tige de la fleur. Celle-ci , de profil, entre bien dans la suggestion du tube cathodique. Les prétendues feuilles ne collent pas à la tige, ce qui est absurde dans un contexte de simple représentation végétale. Il est bien plus évident qu'il s'agit de la figuration d'anode et cathode. L'une d'elles part aussi du nodule et l'autre est à... la masse!
Cette filière de raisonnement est surprenante mais cohérente. Elle casse les vues niaises de "petits dieux qui dansent sur la fleur" hélas souvent lues.
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