Le DY

Planche 1:

Ce hiéroglyphe se présente en forme de triangle isocèle, de 27° au sommet, avec un même petit triangle à sa base. Il n'a rien à voir avec le "triangle sublime" de 36° de sommets sinon qu'une gymnastique semblable avec des pointes de tombes ou d'obélisques. Pour cette raison, Gruais et Mouny les avaient isoles dans un tableau de la page 50 de leur livre le grand secret des pyramides de Guizeh.

La traduction courante de ce signe est offrande, élévation, ce dernier mot pouvant être une extrapolation mystique du premier Le livre "Egyptian language" de Sir Wallis Budge (ed1986) dans le chapitre 23 titré Offerings donne à la rubrique 22 To give, donner.
Mais, l'objet de leur attention était le seul Dy pour la simple raison qu'il est présent 8 fois sur 10 aux côtés de l'Ankh. Ce dernier hiéroglyphe étant le "signe de vie" -le plus puissant et évocateur de la communication égyptienne- cela impliquait une sorte de suivi à la mème dimension. En outre, les travaux des deux auteurs sur l'Ankh, comme ils l'expliquent dans un troisième ouvrage, écrit depuis longtemps mais non encore édité, montrent que tous les signes de l'expression égyptienne (600 à plus de 2000) ont leur base de graphisme dans l'environnement.
Or, ce n'est pas le cas d'une vingtaine dont l'Ankh, le Dy, etc. Du moins à première lecture, car -et c'est ce que démontre le troisième livre - ces hiéroglyphes ou pictogrammes mystérieux échappaient à tout rapprochement pour la bonne raison que la source était inattendue et inenvisageable. C'était le matériel électromagnétique. Gruais et Mouny prouvent cet étonnant lien en situant pour chacun de ces siynes la pièce inspiratrice correspondante, ce que confirme d'ailleurs l'animation des scènes dessinées sur papyrus ou sculptées dans les temples ou tombeaux. Tous ces signes qualifiés de magiques par les égyptologues sont souvent "limbés" de blanc. C'est le cas du Dy.

L'ankh se révélait être le chef de file de cette série et pour cause puisqu'il évoque la Diode, suivant les deux chercheurs. Il serait trop long d'entrer dans le détail mais, pour eux, les Egyptiens auraient découvert un matériel provenant d'une civilisation venue d'avant ou d'ailleurs et que, ne pouvant l'utiliser eux-mêmes, ils auraient intégré au seul niveau symbolique ou religieux.